jeudi 31 janvier 2013

Bruno Nestor Azérot est contre le mariage pour tous

Bruno Nestor Azérot est un élu divers gauche mais proche du Rassemblement démocratique martiniquais de l'ancien député Claude Lise. Suite à son élection comme député, Bruno Nestor Azérot a démissionné du Conseil général de la Martinique, pour se mettre en conformité avec la loi limitant le cumul des mandats. C'est sa suppléante Paulette Bérimey qui le remplace au conseil général. Selon lui, presque toute la population d’Outre-mer est opposée au projet de loi sur le mariage gay, qui constitue même à ses yeux un "risque de rupture du pacte républicain qui nous lie depuis deux siècles". Il laisse aussi entendre que ce projet vise à masquer l’échec du gouvernement à offrir un avenir décent, en termes d’emploi et de logement, à la population.

mardi 29 janvier 2013

La Manif Pour Tous du 13 janvier 2013

Le 13 Janvier 2013 à Paris environ 800 000 personnes s'expriment contre le mariage homosexuel et l'adoption des enfants pour des couples homosexules. Peux eux un enfant doit avoir un papa et une maman.

lundi 28 janvier 2013

Non aux salaires abusifs : initiative Minder

Votation le 3 mars 2013 en Suisse pour ou contre les rémunérations abusives. Voici le texte


La Constitution fédérale du 18 avril 1999 1 est complétée comme suit :
Art. 95, al. 3 (nouveau)
En vue de protéger l’économie, la propriété privée et les actionnaires et d’assurer une gestion
d’entreprise durable, la loi oblige les sociétés anonymes suisses cotées en bourse en Suisse ou à l’étranger
à respecter les principes suivants :

a. l’assemblée générale vote chaque année la somme globale des rémunérations (argent et valeur des
prestations en nature) du conseil d’administration, de la direction et du comité consultatif. Elle désigne
chaque année le président du conseil d’administration et, un par un, les membres du conseil
d’administration et les membres du comité de rémunération ainsi que le représentant indépendant. Les
caisses de pension votent dans l’intérêt de leurs assurés et communiquent ce qu’elles ont voté. Les
actionnaires peuvent voter à distance par voie électronique ; ils ne peuvent pas être représentés par un
membre d’un organe de la société ou par un dépositaire ;

b. les membres des organes ne reçoivent ni indemnité de départ ni autre indemnité, aucune rémunération
anticipée ni prime pour des achats ou des ventes d’entreprises, et ne peuvent pas être liés par un autre
contrat de conseil ou de travail à une société du groupe. La gestion de la société ne peut pas être déléguée
à une personne morale ;

c. les statuts règlent le montant des rentes, des crédits et des prêts octroyés aux membres des organes,
les plans de bonus et de participation et le nombre de mandats externes de ces derniers, de même que la
durée du contrat de travail des membres de la direction ;

d. toute violation des dispositions prévues aux let. a à c sera sanctionnée d’une peine privative de liberté de
trois ans au plus et d’une peine pécuniaire pouvant atteindre six rémunérations annuelles.

II
 

Plus d'info sur http://www.remunerationsabusives.ch

dimanche 27 janvier 2013

Manipulation des masses en 10 étapes

Bien souvent quand on mentionne ce type de procédés, on se bouche les oreilles, taxe l'auteur de parano, le devient soi-même, trouve une explication au pourquoi on a pas su se tirer d'un désaccord alors qu'on savait avoir raison, etc........
Bref, ces stratégies pratiquées au quotidien par bon nombre de personnalités perverses et narcissiques qui s'ignorent vaillamment ou pas, y compris sur G+....  mais aussi enseignées à l'ENA et dans bon nombre d'écoles de commerce, cours de psychologie and co, en voici l'éventail, depuis la stratégie de la distraction, en passant par la stratégie de la dégradation jusqu'à maintenir l'interlocuteur dans l'ignorance et la médiocrité.

1.  La stratégie de la distraction
Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l'attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d'informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s'intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l »économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l'attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »
(Le foot, les jeux olympiques, Johnny, etc) ["Panem et circenses" "Donnez leur du pain et des jeux !"].

2. Créer des problèmes, puis offrir des solutions
Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d'abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu'on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté.
(Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.).

3. La stratégie de la dégradation
Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l'appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C'est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n'assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s'ils avaient été appliqués brutalement.
(Baisse des retraites et allongement de la durée du travail).

4. La stratégie du différé
Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l'accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d'accepter un sacrifice futur qu'un sacrifice immédiat. D'abord parce que l'effort n'est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s'habituer à l'idée du changement et l'accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.
(L'augmentation importante de la pression fiscale ne s'est pas faite avant les élections de 2012).

5. S''adresser au public comme à des enfants en bas-âge
La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-âge ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s'adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d'une personne de 12 ans ». Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »
(Les français sont trop gros, trop gros, trop gros,.. Les boissons sucrées sont surtaxées : nous les paierons plus cher).

6. Faire appel à l'émotionnel plutôt qu'à la réflexion
Faire appel à l'émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l'analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l'utilisation du registre émotionnel permet d'ouvrir la porte d'accès à l'inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements
(La terre se réchauffe dangereusement du fait des seules activités humaines (sic), ce sera terrible pour nos enfants : les carburants sont encore plus taxés).

7. Maintenir le public dans l'ignorance et la bêtise
Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l'éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l'ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »
(80 % des élèves des universités ou des grandes écoles sont issus des classes moyenne ou supérieure).

8. Encourager le public à se complaire dans la médiocrité
Encourager le public à trouver « cool » le fait d'être bête, vulgaire, et inculte
(Voir certaines émissions de TV particulièrement populaires).

9. Remplacer la révolte par la culpabilité
Faire croire à l'individu qu'il est seul responsable de son malheur, à cause de l'insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l'individu s'auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l'un des effets est l'inhibition de l'action. Et sans action, pas de révolution!..
(Vous êtes au chômage par manque de formation ! : suivez un stage et tout ira mieux).

10. Connaître les individus mieux qu'ils ne se connaissent eux-mêmes
Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l'être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l'individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.
(Pourquoi croyez-vous que les grands politiques utilisent et payent largement des instituts importants des sciences humaines ou des grandes sociétés de publicité ce qui revient au même)."



samedi 26 janvier 2013

La tromperie d'un vendeur d'assurance vivacare

Le démarchage à domicile est déjà intrusif surtout lorsqu'il est précédé par un appel téléphonique avec des arguments qui nous forcent.

Mais quand un vendeur ne nous dit rien et habilement sans rien dire remplace un papier d'un contrat en nous faisant penser que la papier qu'on est en train de signé est tout à fait autre chose comment vous appeler cela. Résultat un contrat d'assurance peut être engagé à votre insu sans que vous ne puissiez rien faire. Quand vous réalisez ce qu'il s'est passé il est trop tard car le jour de la réception de la facture les délais de rétractations sont passés et vous n'avez aucun document écrit à lire tranquilement car le vendeur a pris soin de ne rien vous laisser.

Résultat : une procédure de litige avec vivacare

Affaire à suivre ...

samedi 19 janvier 2013

Le mariage désigne l'union d'un homme et d'une femme

Il ne fait aucun doute que le principe selon lequel le mariage désigne l'union d'un homme et d'une femme est un méta-principe du droit français, au coeur de la tradition républicaine et inhérent à notre identité constitutionnelle.

mercredi 9 janvier 2013

Depardieu d'autres raisons expliquent son exil

Selon le journal suisse La Tribune de Genène l'exil de Gérard Depardieu  s'expliquerait par du désespoir.
.

«C'est quelqu'un qui a des bourrasques, qui est extrêmement malheureux, qui est inconsolable -- vous savez pourquoi -- et qui se démène pour essayer de vivre encore», affirme-t-elle, en allusion à leur fils Guillaume, mort en 2008 à l'âge de 37 ans.

«La mort, je la programme tous les jours. Parce que je suis trop vivant, trop viveur, trop jouisseur»: gros buveur, greffé du foie, opéré d'un quintuple pontage, Gérard Depardieu en a rajouté cette semaine dans la démesure qu'il confessait déjà en 2004. Au point d'inquiéter ses proches Pour l'ancien agent du comédien, Jean-Louis Livi, le récent exil fiscal et les tribulations mordovo-russo-monténégrines de l'acteur ne forment aujourd'hui qu'une «provocation qui s'apparente à un suicide».

«Il faut vraiment qu'il soit mal avec lui-même pour s'infliger une telle auto-flagellation. Car qui plus que lui incarne le cinéma français», dit-il au journal Le Monde.
«Provoquer est sa façon de demander si on l'aime vraiment». Gérard a quitté la France «parce qu'il manquait d'attention, d'amour», croit aussi l'ancienne épouse de l'acteur, Elisabeth Depardieu. «Quand il se sent refusé, il devient provocateur et le pire de ce qu'on imagine. Il va essayer de ressembler à ce dont on a peur», confie-t-elle sur RTL.
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samedi 5 janvier 2013