Une étude publiée par un sociologue américain démontre les
effets de l’homoparentalité sur la psychologie des enfants privés
d’altérité dans leur éducation et confrontés aux questions sur leur
conception et leurs origines. Cette étude tenue secrète en France
démontre, outre les problèmes de déséquilibre psychologique des enfants
élevés par des couples homosexuels, que ces enfants sont en moyenne 10
fois plus victimes d’attouchements sexuels que les enfants ayant grandi
dans leurs familles biologiques…
Les résultats de cette étude du chercheur universitaire sont surprenants. Ils ont été repris dans le site d’information américain Slate.
Selon cette étude, les enfants élevés dans leurs familles biologiques
disposent d’un meilleur niveau d’études, d’une meilleure santé mentale
et physique, ils consomment moins de drogue, se tiennent plus éloignés
des activités criminelles et se considèrent plus heureux que les enfants
élevés par un couple homosexuel.
A l’inverse, les enfants issus de familles homoparentales, et en
particulier de couples lesbiens sont bien plus sujets aux dépressions,
il ont plus de problèmes physiques, il consomment plus de marijuana et
ont plus de chance d’être au chômage (69% des enfants issus de familles
homoparentales vivent des prestations sociales contre 17% pour les
enfants de couples hétéros). Surtout, contrairement aux théories de Jean-Michel Aphatie et de Caroline Fourest,
selon lesquelles les hétérosexuels sont de violents alcooliques qui
frappent leurs enfants et en abusent, les enfants de couple lesbiens
seraient en moyenne 10 fois plus victimes d’attouchements sexuels que
dans les familles « hétéro-parentales » (23% contre 2% de moyenne).
Aux États-Unis, le lobby gay a été choqué par cette étude et l’a
dénoncée si violemment (appuyé par des journalistes progressistes) qu’un
mouvement de scientifiques s’est créé pour soutenir ces travaux et leur sérieux méthodologique.
Il est étonnant de constater que cette étude n’a jamais été évoquée
par le moindre journaliste, en France, alors que nous sommes censés être
en plein débat sur l’homoparentalité. Les journalistes préfèrent suivre
les socialistes dans leur chasse aux « dérapages » homophobes plutôt
que de s’interroger sur le fond du sujet et sur les dangers d’une telle
loi.
Il est clair que les études sociologiques peuvent être controversées,
mais pourquoi nous cacher celle là, alors que tous les défenseurs du
mariage pour tous les homos, sans jamais rien citer, disent, l’air sûrs
d’eux, que les premières études prouvent qu’il n’y a pas de différence
éducative entre l’homoparentalité et la parenté « classique » ? Pourquoi
personne ne parle tout haut de cet élément qui pourra certes être
débattu mais qui ne peut qu’apporter des faits nouveaux aux discussions.
Qu’on montre toute les études et chacun se fera son idée, pourquoi
laisser Caroline Fourest nous expliquer que les enfants de couples
homosexuels sont en pleine forme sans mettre en doute cette vérité
énoncée qui ne coule pourtant pas de sens ?
En même temps, tous ces futurs enfants dépressifs, drogués, aux
troubles psychologiques, parasites de l’état, formeront de formidables
électeurs (et militants pour ceux qui seront un peu plus en forme) du
Parti Socialiste. On comprend mieux pourquoi le PS veut déglinguer nos
enfants et légaliser le commerce des bébés…
Le sociologue américain Mark Regnerus a publié un article dans le journal américain « Social Science Research, intitulé « How
different are the adult children of parents who have same-sex
relationships? Findings from the New Family Structures Study » (A quel
point les enfants devenus adultes de parents ayant eu une relation
homosexuelle sont-ils différents ? Résultats de l’Étude sur les
nouvelles structures familiales), qui dresse la bilan de la longue étude qu’il a menée sur 2988 personnes interrogées.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire